Après
un séjour en Hollande auprès de son maître
Dom Bellot, Edgar Courchesne revient à Sherbrooke
pour réaliser sa première œuvre au Séminaire
Saint-Charles-Borromée, là où il a
fait son cours classique. En 1933, la crypte temporaire
y est à changer et les autorités du Séminaire
demandent à J. Aimé Poulin
de concevoir la structure et au jeune architecte Courchesne
de dessiner la décoration. |
La crypte du Séminaire constitue une œuvre importante
dans l’histoire architecturale de l’archidiocèse
puisqu’elle introduit à Sherbrooke le dom-bellotisme,
et ce, un an avant la première visite du moine bénédictin
au Canada. |