Jean-Baptiste
Verret dessine une église au vocabulaire néogothique
selon un plan jésuite (avec des transepts), qui conserve
la façade traditionnelle (clocher central et contreforts
aux angles). Les lignes sont simples, sans artifices. Les
ouvertures en forme de lancette des murs latéraux,
des transepts ainsi que de la façade s’apparentent
à celles des églises protestantes de la région.
|
Contrairement
à l’église Saint-Patrice de Magog,
des contreforts disposés à 45 degrés
soutiennent la façade et la tour centrale. Afin
de rappeler le langage néo-gothique, des ouvertures
en arcades ogivales enjolivent la chambre des cloches. |