André
Royer, né à Sherbrooke en 1911, fait ses
classes au Séminaire Sainte-Charles-Borromée.
Désireux de faire partie des bâtisseurs de
temple, il obtient sa formation à l’École
d’architecture de l’Université Laval
(1).
En 1940, il a le mérite de bâtir la première
église sherbrookoise s’inspirant de l’abbaye
Saint-Benoît-du-Lac, l’église Sainte-Jeanne-d’Arc.
Dans
le diocèse de Sherbrooke, André Royer dessine
également les plans pour l’église
et le couvent des Dominicains de Notre-
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Dame-du-Rosaire
(1946), l’intérieur de l’église
Saint-Aimé d’Asbestos (1951, construite par
L.-N. Audet en 1924 et démolie en 1966) ainsi que
l’église Notre-Dame-de-Toutes-Joies d’Asbestos
(1965-1966) (2).
(1)
L’abbé Paul-É. Paré, «
Les architectes de nos églises paroissiales »,
août 1999, conservées à la Procure de
l’Archidiocèse de Sherbrooke.
(2) L’abbé Paul-É.
Paré, « Les architectes de nos églises
paroissiales », août 1999, conservées
à la Procure de l’Archidiocèse de Sherbrooke.
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