En
1885, Philippe Zotique Milette, de Richmond, a la responsabilité
d’ajouter deux galeries latérales. Trois ans
plus tard, suivant l’ordonnance de Mgr Antoine Racine,
Évêque de Sherbrooke, la sacristie est agrandie
selon les plans de l’architecte de Saint-Hyacinthe,
J. F. Rousseau (1).
En 1900 et 1901, on effectue d’autres travaux qui
requièrent la participation de Casimir Saint-Jean,
originaire de Saint-Camille de Wolfe, et de l’architecte
Louis Caron. On y voit entre autres
apparaître des panneaux d’acier embossés,
encore visibles aujourd’hui dans la nef. Selon les
architectes Petit et Roy, « les campagnes de décoration
de 1873, 1888 et 1900 ont réussi à
|
développer
une esthétique néo-classique beaucoup plus
contrôlée et d’une grande beauté,
selon les photographies anciennes disponibles»(2).
Tout en conservant la nef bâtie par Alexis Belisle,
l’église Saint-Georges de Windsor prend une
nouvelle forme en 1915 avec les modifications apportées
par Louis-Napoléon Audet .
(1)
Album
de Saint-Georges, p. 35-36.
(2)
Rémi
L. Petit et Luc Roy, Restauration patrimoniale de l’église
St-Georges…, p., p. 21. |