Les
oculi du chœur font pénétrer une douce
lumière qui vient caresser le retable et l’arc
de triomphe. Trois croix rappellent aux ouailles le sacrifice
du Seigneur. Une première est posée sur le
tabernacle. Une seconde repose sur le baldaquin aux fines
colonnettes. L’arc de triomphe qui chapeaute le retable
s’inscrit dans le même langage néoclassique
avec ses chapiteaux corinthiens, ses consoles et son entablement.
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À l’intérieur de l’arc plein cintre,
de multiples rayons mettent en valeur la croix du baldaquin.
Une troisième croix s’élève tout
en haut de l’arc de triomphe. |