La
chaire et son abat-son, la table de communion et tout l’environnement
baroque qui décoraient autrefois l’église
ont aujourd’hui disparu. En 1958, le temps faisant
son œuvre, plusieurs éléments étaient
à réparer, voire même à changer.
Ne disposant que d’un budget limité, les autorités
ont dû se résigner à simplifier l’ornementation
du temple, lui donnant du même coup des lignes plus
austères (1).
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Cette
austérité est heureusement oubliée
lorsque les yeux se posent sur la magistrale verrière
du chœur, qui illustre la généalogie
de Jésus-Christ selon saint Matthieu.
(1)
Album, p. 22.
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