La
lumière du jour pénètre dans le haut
de la nef par une galerie de fenêtres aux teintes
pêche et turquoise. En 19XX, des vitraux dessinés
par X et exécutés par le Florentin M. G. Polloni
sont installés aux autres fenêtres. Dans le
bas-côté à gauche de la nef, la séquence
est composée des représentations du père
Marcelin Champagnat (fondateur de la communauté des
Maristes), de saint Jean-Baptiste, de Notre-Dame des pauvres.
À droite, il s’agit de X, de saint Joseph dans
son atelier et d’un ensemble formé de saint
Luce, sainte Agathe et sainte Agnès. |
Les
occupants de la première galerie, sous le jubé
de l’orgue, peuvent admirer l’effigie des quatre
évangélistes. À l’opposé,
ce sont le pélican, les saintes Espèces et
l’agneau pascal qui attirent l’attention des
occupants du jubé du chœur. Surtout, au-dessus
de l’autel où trône sainte Luce, dans
un ciel bleu la colombe éclaire de ses rayons les
chérubins, les anges et les hommes. |