Avec
la relance économique du temps de la Seconde Guerre
mondiale, les industries se développent et des familles
viennent s’installer dans le nord-est de Magog. Si
bien qu’en 1945, cette population est assez grande
pour former la paroisse Saint-Jean-Bosco (1).
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Un
an plus tard, l’église de pierre qu’on
y érige représente un des plus beaux temples
du diocèse de Sherbrooke.
(1)
Comité du centenaire de Magog, Centenaire
de Magog, 1888-1988, Magog, Les éditions Orford,
1988, 256 p., p. 138.
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