«
La construction marcha d’abord lentement; des difficultés
s’élevaient de tous côtés. La
principale était la grande quantité de roc
à enlever pour permettre la construction de l’église
basse que Mgr Larocque a appelé[e] plus tard «
Chapelle Pauline » » (1).
On
consacre beaucoup d’énergie à l’excavation.
Le génie des entrepreneurs, la détermination
des ouvriers et à la puissance des chevaux sont
mis à contribution.
«
Tout a été fait sur place, un compresseur
avait été posé pour aider à
tailler la pierre de même qu’un concasseur.»(2)
|
En
septembre 1916, s’élèvent le mur de
l’entrée sud, avec ses ouvertures en ogive,
et les piliers du sanctuaire destinés à recevoir
la future cathédrale. À l’automne 1917,
les travaux étaient terminés.
(1)
Louis-Napoléon Audet Cathédrale et évêché
de Sherbrooke…, p. 2.
(2) Lettre de Louis-Napoléon Audet
adressée à l’abbé Robert Rouleau,
8 octobre 1968, Bureau de la procure de l’Archidiocèse
de Sherbrooke. |