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Le clocher
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Vue sur l'intérieur, de l'entrée principale

 

Vue sur l'entrée principale, de l'intérieur

 

Église Saint-Louis-de-France
| Louis-Napoléon Audet |
L'architecture intérieure
À l’intérieur, l’élévation de la nef centrale semble évoquer l’envol de la prière. Les trois nefs rappellent les églises de l’Espagne et du Portugal. En effet, l’architecture intérieure quitte le modèle gothique français où les bâtiments sont constitués d’une nef unique et de bas-côtés . La construction des hautes colonnes octogonales, sur lesquelles reposent les arcs en ogives, est rendue possible grâce à l’utilisation de structures d’acier et de béton. Les chapiteaux sont agrémentés de caissons à motifs floraux et des ornements de feuillages se profilent sur les nervures des voûtes. Louis-Napoléon Audet utilise une tuile Gustavino pour couvrir ces dernières. En provenance des États-Unis, ce type de tuile ne se retrouve qu’à peu d’endroits au Québec, dont à la chapelle Pauline (Sherbrooke), à l’église Saint-Cœur-de-Marie (Québec) et dans le passage voûté qui mène au Château Frontenac (Québec).

Le parquet est en marqueterie de marbre blanc et des motifs géométriques de couleur agrémentent le tout. Dans l’ensemble, l’architecture intérieure se révèle d’une grâce et d’une simplicité remarquables. Quant aux boiseries et au mobilier, l’architecte propose une essence qu’on doit importer d’Europe : le bois de châtaignier.

 

(1) Notes historiques sur East-Angus, p.5.

 

 
| PHOTOS |
   
   
 
| Photos: MAF. © MAF & Diocèse de Sherbrooke |
 

 

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